Blog contenant des histoires inventées et des poèmes
Dans ce ciel nocturne mon regard se perd
Cette infinité tant de fois décrite et ressentie
Je ne saurais moi-même en parler
Pourtant comme toujours elle me rend mélancolique
As-tu toi aussi ressenti son triste appel ?
Cette invitation à une tristesse incommensurable ?
Et pourtant ce soir ce n’est pas mon malheur que je pleure…
Toi qui verse ces larmes amères
Je ne sais comment te consoler
Tu verses tes larmes sur mon épaule
Tu trembles, tu ne comprends pas
Et moi en quoi pourrais-je t’aider ?
Alors je t’écoute… et plus tu pleures,
Plus mon cœur saigne de ne pouvoir t’aider
Il a été là pour toi pendant si longtemps
Que sa disparition te laisse presque sans voix
Tu ne peux pas comprendre
Quatre ans passionnés brisés en deux phrases
Et moi je voudrais compatir…
Mais je ne sais pas ce que c’est
Même l’empathie a des limites
Toi qui verse ces larmes amères
Je ne sais comment te consoler
Tu verses tes larmes sur mon épaule
Tu trembles, tu ne comprends pas
Et moi en quoi pourrais-je t’aider ?
Alors je t’écoute… et plus tu pleures,
Plus mon cœur saigne de ne pouvoir t’aider
Je vois dans ton regard que tu cherches un soutien
Un soutien absent dans le mien
Mes mots sont creux, vides
Et tu désespères d’être entendue
Pourtant je voudrais pouvoir te montrer que je suis à tes côtés
Dans cette épreuve, dans cet oubli
Toi qui verses ces larmes amères…
Reviendras-tu un jour vers moi ?
Je ne t’ai pas comprise et tu t’éloignes
Mais toi, as-tu remarqué que moi aussi je souffrais pour toi ?
L’homme dans sa souffrance est seul
Et nous voilà chacune envahie par notre peine… seules