Blog contenant des histoires inventées et des poèmes
JE N’AI JAMAIS BEAUCOUP PENSE A LA FAÇON DONT JE MOURRAIS- bien que j’aurais eu des raisons d’y penser ces derniers mois- mais même si je l’avais fait, je ne l’aurais jamais imaginé comme ça.
J’ai fixé sans respirer à travers la longue pièce, les yeux noirs du chasseur, et il m’a regardé aimablement en retour.
C’était surement une belle manière de mourir, à la place de quelqu’un d’autre, quelqu’un que j’aimais. Plutôt Noble. Ça devrait compter pour quelque chose.
Je savais que si je n’étais jamais allée à Forks, je ne ferais pas face à la mort maintenant. Mais, aussi terrifiée que je l’étais, je n’arrivais pas à regretter ma décision. Quand la vie vous offre un rêve plus fou que vos attentes, il n’est pas raisonnable de pleurer lorsqu’il arrive à sa fin.
Le chasseur m’a souri amicalement alors qu’il allait venir me tuer.
Traduis d'après le texte anglais original. Cette traduction n'est pas une copie de celle faite par Luc Rigoureau.